Il était une fois A., un élève qui, en CE2, ne faisait plus rien en classe.
Ses parents étaient en situation de handicap cognitif. Ils l’avaient autorisé à travailler avec moi, et deux autres élèves de son niveau. En revanche, j’ai mis du temps à pouvoir les rencontrer.
Ce choix pour l'aide relationnelle s'est vraiment fait à la Toussaint 2018, mais remonte, je pense, à bien avant. Le déclic de la Toussaint est dû avant tout à un ras-le-bol de la relation en "équipe" d'école (les guillemets pour dénoncer ce terme car il n'y a pas d'équipe en soi, même si parfois, des équipes arrivent à se constituer, et j'en ai vécu).
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J'ai passé deux ans dans des UE, institut d 'éducation motrice, puis Robert Debré. L'intérêt des UE est à mon sens de sortir de l'école, d'être au contact des autres corps de métiers, ortho, infirmières, psy... Les enfants que j'ai suivis étaient extrêmement demandeurs de relations individuelle et pas seulement pédagogiques.
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Quand l’enseignante signale Samuel au RASED, elle décrit un enfant pertinent à l’oral mais qui a du mal à s’adapter aux contraintes de l’école.
Stella, le téléphone, l’ambulance ou les zombies pour mettre de la distance…